Les mystères de la porte 2024 – Eric Pechin

by Eric Pechin

Dans ces premiers jours de l’année 2024, nous réjouissons de voir ce que Dieu va faire et ce qu’il a promis. Nous devons comprendre qu’il existe plusieurs voies prophétiques qui sont libérées qui ont chacune leur couleur. La diversité des voies dans le peuple prophétique unifie une famille. Il ne s’agit de s’approprier quoi que ce soit, mais de se présenter avec beaucoup d’humilité dans cette saison. Le discernement est une chose qui doit se développer grandement pour connaitre la source des choses qui se présentent. Le seigneur a tellement de choses à libérer, nous ne pouvons pas juste considérer une ou une autre ou dire encore j’ai reçu la parole et la déclarer comme la vérité absolue. Le Seigneur a une multitude de chose à partager avec son peuple aujourd’hui.

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REPLAY DE LA VIDEO 

https://youtu.be/3q_JQEsbzks?si=sENqvEtywHTCqv-h

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Ce texte n’est pas la retranscription mais quelques notes de partage. Bonne lecture.

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Le mystère d’une porte ouverte

Entendre la voix de l’Esprit de Dieu n’est pas réservé à la porte d’une année, mais au cours de l’année tout entière. Car nous devons considérer que derrière une porte se trouve une autre porte. Comme une révélation ouvre la voie à. Une autre révélation. Il y a des profondeurs à considérer, apprenons à collaborer avec les mystères que le Seigneur libère, des ordonnances conduites par le Saint Esprit. Qu’un peuple de sacrificateurs qui sert sa présence se déploient en collaborant avec les décrets qu’il a ordonné dans ce temps.

Lorsque nous sommes enrôlés dans ce mandat selon l’ordre de Melchisedek, nous n’avons pas d’alternative à nous retrouver sous son bâton d’autorité dans un face-à-face.

Bob Jones s’empressa et s’exécutait alors en appelant le Seigneur : Melchisedek.

Alors il recevait son bâton de berger, le Seigneur lui communiquait

toutes les directives pour l’année.

Prophétise dans les couloirs du temps

C’est un moment stratégique dans nos nations francophones.

Comment devrions-nous nous tenir ?

En tant que peuple de Dieu, nous avons l’avantage de la perspective céleste.

Lorsque nous essayons de comprendre le point de vue de Dieu,

c’est notre tendance naturelle de voir les choses à travers d’un prisme unidimensionnelle.

Il y a des grands vents de changement qui soufflent sur les nations,

Il accompagne le char de feu mobile de l’Ancien de jours

Les anges, les êtres vivants et la nuée des témoins se déploient au milieu de nous.

Nous posons quelques fois des questions comme :

« Dieu est-il pour ou contre une certaine situation ? »

ou, « Le point de vue de Dieu est-il de telle façon ou telle façon ? »

Comment devons-nous nous positionner dans cette saison de chaos des nations ?

Cependant, c’est généralement en plaçant stratégiquement différents volets de révélation ensemble que nous comprenons le point de vue de Dieu.

Comme je cherchais Dieu à propos de la France et la francophonie.

L’Esprit de Dieu a mis en évidence plusieurs types de courants différents de révélation.

Je vous invite à examiner les différents aspects dans le cadre d’une plus large vision d’ensemble.

Observons l’ensemble de la multidimensionalité, plutôt que tendre à séparer ce qui est en train de s’aligner dans un mouvement de gloire. Nous avons besoin qu’une image plus claire soit inscrite à notre cœur et du but de notre Dieu pour les nations.

Nouvelles vagues de gloire

Dieu m’a montré que de nouveaux vents, de nouvelles voies, de nouveaux courants et de perturbations divines sont en cours de dévoilement dans les temps troublés que nous vivons.

Les nouveaux mouvements ordonnés par Dieu balayeront les nations, les frontières.

Il y a un grand nombre de chose qui ont déjà été libéré des cieux pour répondre aux besoins de la terre, et qui est retenu entre les cieux et la terre dans cette guerre des autels de haut niveau.

Ces mouvements de gloire des quatre vents toucheront tous les secteurs de la société et contiennent l’ADN de la vie et une nouvelle espérance pour le futur.

Les vents portent le poids de la gloire. C’est le poids de la nuée de gloire qui se déplace et transforme tout dans le sillage d’un ancien chemin des huguenots. Il y a un nouveau réveil à venir qui va contrecarrer la contrefaçon de le voir et l’expectative même va être bouleversée. Ce mouvement porte en lui toute la dimension du surnaturelle qui doit être libéré pour les nations.

De nouveaux mouvements ont déjà commencé à balayer les nations. La gloire prophétisée par Amos de la maison qui sera plus grande est dans le mouvement de Dieu qui se déplace lui-même pour la libérer.

Expérience du Trône

L’opportunité de la porte qui est ouverte du mouvement prophétique de la décennie de la bouche va bientôt arriver à son plus haut niveau d’autorité. Cette saison offre une nouvelle voix audience au prophétique dans les cieux et sur la terre.

L’expérience de Pierre lors de la Pentecôte était directement liée à la réalité du trône et de tout ce qui lui est associé. Pierre dit de Jésus dans Actes 2:33 :

Élevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père l’Esprit Saint qui avait été promis, et il l’a répandu, comme vous le voyez et l’entendez.

Ainsi, étant enlacé dans la main droite de Dieu lors de son ascension, lui, l’Élevé, a 1engagé [lambano] pleinement la pertinence prophétique et la conclusion de ce moment au nom de l’humanité ; ce qu’il 2promet nous appartient ; l’Esprit Saint 3procède du Père. Ainsi, ce que vous voyez et entendez aujourd’hui est le témoignage de l’effusion de l’Esprit Saint. Actes 2:33 (Mirror Bible)

[1] Le mot, lambano, recevoir, comprendre – ici, 1laboon, qui est le principe aoriste du nominatif. Ainsi, Lui, Jésus est le sujet, l’Élevé, qui est aussi le principe aoriste[1] du nominatif. Il a pleinement saisi la pertinence prophétique de ce moment. L’objet entier de son élévation ainsi que l’effusion promise du Saint-Esprit dans Actes 2:17. Au terme des temps [eschatos des jours], dit Dieu, de moi-même, je répandrai mon Esprit sur toute chair. [Voir les versets 17-21 où Luc cite Joël 3 :1-2.]

[2] Le mot, epangelion, promesse ; une assurance divine de bien ; de la préposition epi, suggérant une influence continuelle sur ; et angelloo, annonce.

La préposition 3para indique la plus grande proximité possible ; elle provient d’un lieu d’union et de résidence intime. Wesley J. Perschbacher dit que para, avec le génitif, indique la source ou l’origine, « venant de ».

Malheureusement, beaucoup trop ont assimilé le mouvement de l’esprit à une expérience. Beaucoup trop sont restés figés dans cette expérience et n’ont pas embrassé une transformation d’une vie vécue dans un autre type d’expérience connectée sans discontinuer. Le mouvement qui vient est bien plus qu’une simple expérience, il était directement lié à la réalité des choses d’en hauts, au trône royal, au conseil divin, au char de feu mobile, au mouvement de la gloire pesante accompagné des chevaux ardents qui galopent dans la gloire.

Quand Élie se tenait devant le roi Achab, il venait directement d’une position dans le conseil divin de Dieu.

Comme le Seigneur, le Dieu d’Israël vit, devant qui je me tiens. (1 Rois 17:1)

L’esprit prophétique d’Élie fait partie intégrante de la destinée des nations francophones.

Le mystère d’une porte ouverte

Après cela, je regardai et voici, une porte était ouverte dans le ciel. La première voix que j’avais entendue me parler avec la force d’une trompette dit alors :

« Monte ici et je te ferai voir ce qui doit arriver par la suite. Ap.4 :1

Les premières lignes du chapitre quatre de la Révélation évoque une scène empreinte de majesté et de transcendance. Dans un tableau céleste d’une splendeur incommensurable, le verset décrit l’instant où une porte s’ouvre dans les cieux, dévoilant ainsi une perspective divine.

L’atmosphère est imprégnée de mystère et de révérence, tandis que le narrateur est invité à contempler les réalités célestes qui s’offrent à lui.

La langue biblique employée dans ce passage s’inscrit dans une poésie subtile et éthérée, capturant l’essence de cette rencontre avec le surnaturel. Les mots choisis évoquent un déploiement unique d’adoration, de respect sacré et d’émerveillement devant la grandeur de l’invisible.

C’est un moment où le temps ne se mesure plus, où le fini et l’infini se rencontrent, où l’humanité est appelée à contempler la transcendance avec humilité et vénération.

En parlant de notre co-séance, je veux que tu saches quelque chose. C’est incroyable. Ce que je vois me coupe le souffle. Une porte grande ouverte [eneogmene] dans le royaume céleste. La première chose que j’ai entendue, c’est une voix qui s’adressait à moi. Elle était distincte et claire, comme le son d’une trompette ; elle a capté mon attention, m’invitant à entrer. Viens ici et je te montrerai comment tout concorde [genesthai] avec ce que tu as déjà vu. (Rev.4 :1, Mirror Bible)

J’ai vu [eidon] deuxième indicatif actif aoriste de horaō. La plupart des traductions traduiraient meta tauta par « après cela », mais le mot meta fait référence à « avec cela », « coïncidant avec cela ». Le mot meta se réfère cependant à : « avec ceci ; coïncidant avec ceci ».

Apocalypse 3:20-21, « et le triomphe personnel de chacun sera célébré avec moi, en étant assis ensemble dans ma royauté. Exactement sur la même base de la célébration de ma victoire et de mon assise commune avec mon Père sur son trône ». Robertson suggère qu’il s’agit d’un changement de panorama, et non de chronologie.

Le mot eneogmene (porte ouverte) est le participe parfait passif de anoigō ouvrir, de ana, vers le haut et agō,conduire ; comme dans Apocalypse 3:8 [porte de l’opportunité] et Apocalypse 3:20 [porte du cœur].

Une dimension de possibilités illimitées s’ouvre, juste devant nos yeux. Le participe passif décrit un état qui existe à un moment coïncidant avec celui du verbe qui donne la direction, en tant que résultat d’une action accomplie avant le moment du verbe principal, voir.

Ainsi, Jean a assisté à l’ouverture de la porte.

Le parfait indique une action qui est achevée dans le passé, mais dont les effets sont considérés comme se poursuivant dans le présent.

Le verbe genesthai (tout concorde) n’est pas le futur du verbe être ; il s’agit de l’infinitif aoriste où la pensée n’est pas prophétique, mais la nécessité de la conséquence inévitable résultant du Christ crucifié et ressuscité.

Jean emploie à nouveau le verbe ginomai, engendrer, au temps de l’infinitif aoriste, genesthai, qui indique l’achèvement préalable d’une action par rapport à un moment donné. Les infinitifs grecs pouvaient avoir une forme présente ou aoriste.

La différence entre les deux formes n’est pas nécessairement temporelle, c’est une différence d’aspect. L’infinitif présent était utilisé pour exprimer l’aspect progressif ou imperfectif. Il représente l’action exprimée par le verbe comme étant en cours. L’infinitif aoriste, en revanche, n’exprime pas l’aspect progressif. Il présente l’action exprimée par le verbe comme une unité achevée avec un début et une fin.

Prophétise dans les couloirs du temps

Qui donc a assisté au conseil de l’Eternel, de sorte qu’il aurait vu et entendu sa parole ? Qui s’est montré attentif à sa parole et l’a entendue ? Jérémie 23 :18

Alors que j’interrogeais Dieu à nouveau sur l’accès au conseil divin de l’Ancien des jours, l’Esprit de me dit : « Prophétise dans les couloirs du temps ».

C’est une saison de dévoilement de toute choses, conjuguant maladroitement à la fois les bonnes et tout le panel des mauvaises.

L’Esprit dit : « J’expose les cœurs de mes prophètes qui se trouvent dans la vulnérabilité et avec humilité et je les conduits dans les dimensions des couloirs du temps ».

Il faut comprendre les dimensions du temps dont nous ne saisissons qu’une infime portion, qui se déplace entre l’Alpha et l’Omega, dans des couloirs invisibles où se déploie l’histoire.

Dans ces endroits en libération des décrets et accomplissements de ces écrits d’autorité qui déverrouillent des territoires pour les nations. Les jugements de l’Ancien des jours sont en cours d’exploitation et d’exécution sur la terre. C’est le chemin des mystères que sillonne le Roi très élevé qui se déplace avec ces chars de feu, accompagné des roues dans d’autres roues, avec un feu de gloire à l’intérieur et des yeux tout autour.

« Je veux que mon peuple soit sensible à ma voix avec des motivations pour mon Royaume et que mon Épouse se prépare. Comme Élie est apparu que devant le roi Achab après avoir reçu des directives de mon Conseil divin ».

Il existe une position beaucoup plus élevée que l’excusions des décrets qui nous sont confiés d’administrer sur la surface des nations. Cette position est celle que nous avons avec et en Lui à la fois, assis dans la réalité des lieux célestes en opérant une réelle autorité sacerdotale. C’est un temps où tout s’incline devant le Roi Très élevé, notre cœur est exposé, vos agendas sont dérangés, nos motivations révisées, nos positions réalignées… tout sont exposés.

Après qu’Elie ait été utilisé pour vaincre les prophètes de Baal, il a été victime d’un esprit d’élitisme et a cru qu’il était le seul à défendre la justice. Il a commis des erreurs. Tout d’abord, il n’a pas reconnu l’intercession des milliers d’Israélites qui n’avaient pas incliné leurs genoux devant Baal. Deuxièmement, il n’a pas compris que la bataille avec Jézabel était une bataille multigénérationnelle et que l’un de ses rôles clés était d’équiper la génération suivante pour détruire son influence de la terre.

13Dès qu’Elie l’entendit, il se couvrit le visage d’un pan de son manteau et sortit se placer à l’entrée de la grotte. Et voici que quelqu’un s’adressa à lui : Que fais-tu ici, Elie ?

14 Il répondit : J’ai ardemment défendu la cause de l’Eternel, le Dieu des armées célestes, car les Israélites ont abandonné ton alliance, ils ont renversé tes autels, ils ont massacré tes prophètes ; je suis le seul qui reste et les voilà qui cherchent à me prendre la vie.

15 L’Eternel lui dit : Va, retourne sur tes pas, à travers le désert, jusqu’à Damas ; quand tu seras arrivé, tu oindras Hazaël comme roi de Syrie.

16 Puis tu iras oindre Jéhu, fils de Nimchi, comme roi d’Israël ; tu oindras aussi Elisée, fils de Chaphath, d’Abel-Mehola, comme prophète pour te remplacer.

17 Tout homme qui échappera à l’épée de Hazaël sera mis à mort par Jéhu, et tous ceux qui échapperont à l’épée de Jéhu seront mis à mort par Elisée.

18 Toutefois, j’épargnerai en Israël les sept mille hommes qui ne se sont jamais agenouillés devant Baal et qui ne l’ont jamais baisé de leurs lèvres. (1 Rois 19:13-18)

Dans cette guerre des autels il y aura plusieurs types de confrontations, nous devrons marcher et opérer avec l’esprit d’Elie. Les confrontations qui exposent les dirigeants aux décrets célestes. Les confrontations qui se produiront aux seuils des portes où nous devrons traverser avec autorité, entre les « rois » et l’accomplissement des promesses.

Lorsque Dieu décrète un temps particulier, il le préserve et il l’observe pour voir de quelle manière nous allons y répondre. Il y a un son prophétique qui doit monter des nations, pour traverser les couloirs de l’Éternité entre Alef et le Tav pour trouver un lieu d’accomplissement.

Une résonance prophétique trouve une réponse dans une résonance dans les coupes des Anciens qui son présentées devant le trône céleste. Prions et déclarons le dessein de Dieu sur la France et la francophonie. Et n’oublions pas que Dieu a son propre agenda et qu’il le chéri, quand nous nous adressons dans une conversation avec Lui et que nous faisons notre maximum pour nous tenir dans l’union en Lui, apprenons à aimer ce que Dieu aime.

Nous sommes observés

C’est le temps de vivre dans le mouvement de la gloire une expérience devant le trône

Nous sommes attendus, nous sommes observés,

C’est le temps des nations, les nations sont une chance pour nous et nous sommes une chance pour les nations

Il y a une clé d’autorité, qui est la clé de David qui ouvrira de nombreuses portes de la manifestation du surnaturel

Tenons-nous devant les faces de celui qui règne, les sept esprits de Dieu sont disponibles,

J’ai rencontré l’esprit de crainte du Seigneur, il est une des clés pour l’accès à la révélation de notre temps.

[1] L’aoriste est un temps et un aspect que l’on retrouve dans certaines langues indo-européennes telles que le sanskrit, le serbe, le bulgare, le croate, le bosnien, l’ancien tchèque ou le grec ; on le trouve également en turc, en arménien ainsi qu’en géorgien.

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